Le domaine
Vue sud
Le mas
Vue nord
Le moulin
Vue nord-ouest

À l’origine
À l’origine du domaine oléicole, la détermination d’une femme, Sophie Arnihac, qui se lance en 1998 dans la remise en culture d’oliviers replantés après le gel de 1956 puis laissés à l’abandon.
Un parcours engagé
Orthophoniste de formation, Sophie Arnihac est aujourd’hui propriétaire de 6 000 oliviers, d’un moulin à huile et de son propre atelier de pasteurisation pour pouvoir assurer sur son domaine toutes les étapes de la production.
Engagée dans une démarche qualité dès les premières cuvées, Sophie Arnihac a fait le choix d’une agriculture raisonnée où seule la production du domaine est triturée.
Depuis plus de 10 ans, la démarche qualité et le savoir-faire du Mas des Vautes sont régulièrement récompensés par des jurys professionnels.
Médaillé d’argent dès 2006 au Concours Agricole de Paris pour l’huile d’olive de Picholine fruité vert, le Mas des Vautes s’est vu décerner à de nombreuses reprises ces dernières années une médaille d’or pour l’huile de Picholine Picual ainsi que des médailles d’argent saluant la qualité de ses autres produits (Olivautes à la figue, huile Picholine-assemblage…).
Notre histoire

Le Mas
L’imposante bâtisse du Mas des Vautes date du 16ème siècle. L’actuel moulin à huile est implanté dans ce qui furent les écuries du Domaine.
16ème siècle

L'oliveraie
Les oliviers sont replantés en 1956, au lendemain de l’exceptionnelle vague de froid qui touche la France.
1956

La remise en culture
En 1998, Sophie Arnihac se lance dans la remise en culture du domaine et fait le choix audacieux de nouvelles plantations comme la Picual.
1998

Le moulin à huile
En septembre 2003 les anciennes écuries laissent la place à un moulin à huile où seront triturées les olives récoltées entre novembre et janvier selon leur maturité.
2003

L’atelier
Sous les belles voûtes du Mas, l’atelier de pasteurisation permet de fabriquer les Olivautes, ces délicates préparations à base d’olives vertes dans l’esprit d’une tapenade.